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seminaire à Pully

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Centre Général Guisan

Centre Général Guisan

Avenue Général-Guisan 117, 1009 Pully

Le Centre Général Guisan est situé à Pully à proximité de Lausanne, dans un parc d’une superficie d’un hectare au bord du Leman. C'est un lieu privilégié de rencontres, d’études et de mémoire. Sous le nom de Verte Rive, la propriété fut la demeure, jusqu’à son décès en 1960, du Général Guisan, commandant en chef de l’Armée suisse pendant la Deuxième Guerre mondiale 1939-1945. Propriété de la Confédération Suisse depuis 1971, Verte Rive est aujourd’hui un centre géré par une association de droit privé. Centre Général Guisan - historique historique du Général Origine On trouve la famille Guisan dès le XVème siècle dans le canton de Vaud. Les Guisan, châtelains d’Avenches, seigneurs de Donatyre et d’Oleyres durent céder leurs biens et leurs charges à Leurs Excellences de Berne au moment de l’occupation du Pays de Vaud. Par sa mère, Henri Guisan descend des châtelains de Beaufort en France, famille huguenote émigrée en Suisse à la Révocation de l’Edit de Nantes en 1685. Devise de la famille de Henri Guisan, bourgeois d’Avenches : « It recte nihil timet » (Le juste n’a rien à craindre). Jeunesse Henri Guisan voit le jour le 21 octobre 1874 à Mézières, Vaud où son père exerce la profession de médecin de campagne. En 1893, il obtient le baccalauréat ès lettres après avoir fréquenté le collège classique cantonal et le gymnase à Lausanne. Membre de la Société d’étudiant de Zofingue, il entreprend des études de médecine qu’il abandonne bien vite pour s’orienter vers l’agronomie. Dès 1897, il exploite un domaine agricole situé à Chesalles sur Oron et fonde un foyer en épousant Mary Doelker. Carrière militaire 1894 Ecole de recrues à Bière dans l’artillerie hippomobile (arme dans laquelle il pouvait assouvir sa passion pour le cheval). 1894 Lieutenant 1898 Premier-lieutenant 1904 Capitaine, commandant de la batterie de campagne 6. 1908 Capitaine à l’état-major général (EMG) 1909 Major EMG 1913 Major d’infanterie, commandant du bataillon de fusiliers 2 1916 Lieutenant-colonel EMG puis 1919 Commandant ad interim du régiment d’infanterie 9 1920 Colonel d’infanterie, commandant de la brigade d’infanterie 5 1926 Colonel divisionnaire*, commandant de la 2e division puis 1931 Colonel divisionnaire, commandant de la 1ère division 1932 Colonel commandant de corps d’armée, commandant du 2e corps d’armée puis 1933 Colonel commandant de corps, commandant du 1er corps d’armée 1939 Général, élu par l’Assemblée fédérale le 30 août, commandant en chef de l’armée. Jusqu’à sa nomination au grade de colonel divisionnaire, Henri Guisan conserve son statut d’officier de milice tout en accomplissant de nombreux services comme officier instructeur volontaire. * Les officiers généraux portaient alors le grade de colonel brigadier, colonel divisionnaire et colonel commandant de corps. La mention " colonel " a été supprimée dans les années 1960. La mission donnée à l’armée et à son chef pour la période de la Deuxième Guerre Mondiale 1939 - 1945 peut se résumer en une phrase " Sauvegarder l’indépendance du pays et maintenir l’intégrité du territoire ". Cette mission a amené le Général Guisan à prendre les décisions stratégiques dictées par la situation et son évolution tout au long de son temps de commandement. D’un dispositif d’attente dicté par le statut de neutralité du pays après la mobilisation, l’armée a gagné le dispositif de combat du Réduit dans le secteur alpin alors que la Suisse était encerclée par les Forces de l’Axe pour revenir, dans la dernière phase de la guerre, à un dispositif de couverture des frontières. Le 20 août 1945, le Général Henri Guisan pouvait quitter son commandement avec le sentiment d’avoir rempli la mission qui lui avait été confiée. Jusqu’à sa mort, le 7 avril 1960, le Général Henri Guisan a pu mesurer sa popularité à travers les innombrables témoignages de reconnaissance exprimés par le peuple suisse. Le Centre Général Guisan Sous le nom de Verte Rive, la propriété qui abrite aujourd’hui le CENTRE GENERAL GUISAN fut la demeure du Général Henri Guisan, commandant en chef de l’armée suisse durant la période 1939 - 1945. Les bâtiments, construits par le père de la future épouse du général Mary Doelker dans les année 1867 à 1874, étaient destinées à l’habitat et l’exploitation agricole dans un environnement voué alors à l’agriculture et à la production vinicole. Henri Guisan s’y installa en 1902 et y resta jusqu’à sa mort en 1960. Achetée par la Confédération en 1971, la propriété de Verte Rive devint le siège du CENTRE D’HISTOIRE ET DE PROSPECTIVE MILITAIRES grâce à la SOCIETE VAUDOISE DES OFFICIERS (SVO) à laquelle la Confédération concède un droit de superficie sur l’un des pavillons. Dès 1974, ce pavillon aménagé permet la réunion de nombreuses sociétés, en particulier militaires. Le fils du général, le colonel Henry Guisan, occupa la villa jusqu’à son décès en 1990.

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Avenue Général-Guisan 117, 1009 Pully
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Le Centre Général Guisan est situé à Pully à proximité de Lausanne, dans un parc d’une superficie d’un hectare au bord du Leman. C'est un lieu privilégié de rencontres, d’études et de mémoire. Sous le nom de Verte Rive, la propriété fut la demeure, jusqu’à son décès en 1960, du Général Guisan, commandant en chef de l’Armée suisse pendant la Deuxième Guerre mondiale 1939-1945. Propriété de la Confédération Suisse depuis 1971, Verte Rive est aujourd’hui un centre géré par une association de droit privé. Centre Général Guisan - historique historique du Général Origine On trouve la famille Guisan dès le XVème siècle dans le canton de Vaud. Les Guisan, châtelains d’Avenches, seigneurs de Donatyre et d’Oleyres durent céder leurs biens et leurs charges à Leurs Excellences de Berne au moment de l’occupation du Pays de Vaud. Par sa mère, Henri Guisan descend des châtelains de Beaufort en France, famille huguenote émigrée en Suisse à la Révocation de l’Edit de Nantes en 1685. Devise de la famille de Henri Guisan, bourgeois d’Avenches : « It recte nihil timet » (Le juste n’a rien à craindre). Jeunesse Henri Guisan voit le jour le 21 octobre 1874 à Mézières, Vaud où son père exerce la profession de médecin de campagne. En 1893, il obtient le baccalauréat ès lettres après avoir fréquenté le collège classique cantonal et le gymnase à Lausanne. Membre de la Société d’étudiant de Zofingue, il entreprend des études de médecine qu’il abandonne bien vite pour s’orienter vers l’agronomie. Dès 1897, il exploite un domaine agricole situé à Chesalles sur Oron et fonde un foyer en épousant Mary Doelker. Carrière militaire 1894 Ecole de recrues à Bière dans l’artillerie hippomobile (arme dans laquelle il pouvait assouvir sa passion pour le cheval). 1894 Lieutenant 1898 Premier-lieutenant 1904 Capitaine, commandant de la batterie de campagne 6. 1908 Capitaine à l’état-major général (EMG) 1909 Major EMG 1913 Major d’infanterie, commandant du bataillon de fusiliers 2 1916 Lieutenant-colonel EMG puis 1919 Commandant ad interim du régiment d’infanterie 9 1920 Colonel d’infanterie, commandant de la brigade d’infanterie 5 1926 Colonel divisionnaire*, commandant de la 2e division puis 1931 Colonel divisionnaire, commandant de la 1ère division 1932 Colonel commandant de corps d’armée, commandant du 2e corps d’armée puis 1933 Colonel commandant de corps, commandant du 1er corps d’armée 1939 Général, élu par l’Assemblée fédérale le 30 août, commandant en chef de l’armée. Jusqu’à sa nomination au grade de colonel divisionnaire, Henri Guisan conserve son statut d’officier de milice tout en accomplissant de nombreux services comme officier instructeur volontaire. * Les officiers généraux portaient alors le grade de colonel brigadier, colonel divisionnaire et colonel commandant de corps. La mention " colonel " a été supprimée dans les années 1960. La mission donnée à l’armée et à son chef pour la période de la Deuxième Guerre Mondiale 1939 - 1945 peut se résumer en une phrase " Sauvegarder l’indépendance du pays et maintenir l’intégrité du territoire ". Cette mission a amené le Général Guisan à prendre les décisions stratégiques dictées par la situation et son évolution tout au long de son temps de commandement. D’un dispositif d’attente dicté par le statut de neutralité du pays après la mobilisation, l’armée a gagné le dispositif de combat du Réduit dans le secteur alpin alors que la Suisse était encerclée par les Forces de l’Axe pour revenir, dans la dernière phase de la guerre, à un dispositif de couverture des frontières. Le 20 août 1945, le Général Henri Guisan pouvait quitter son commandement avec le sentiment d’avoir rempli la mission qui lui avait été confiée. Jusqu’à sa mort, le 7 avril 1960, le Général Henri Guisan a pu mesurer sa popularité à travers les innombrables témoignages de reconnaissance exprimés par le peuple suisse. Le Centre Général Guisan Sous le nom de Verte Rive, la propriété qui abrite aujourd’hui le CENTRE GENERAL GUISAN fut la demeure du Général Henri Guisan, commandant en chef de l’armée suisse durant la période 1939 - 1945. Les bâtiments, construits par le père de la future épouse du général Mary Doelker dans les année 1867 à 1874, étaient destinées à l’habitat et l’exploitation agricole dans un environnement voué alors à l’agriculture et à la production vinicole. Henri Guisan s’y installa en 1902 et y resta jusqu’à sa mort en 1960. Achetée par la Confédération en 1971, la propriété de Verte Rive devint le siège du CENTRE D’HISTOIRE ET DE PROSPECTIVE MILITAIRES grâce à la SOCIETE VAUDOISE DES OFFICIERS (SVO) à laquelle la Confédération concède un droit de superficie sur l’un des pavillons. Dès 1974, ce pavillon aménagé permet la réunion de nombreuses sociétés, en particulier militaires. Le fils du général, le colonel Henry Guisan, occupa la villa jusqu’à son décès en 1990.

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Route de Saint-Maurice 18, 1814 La Tour-de-Peilz
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Hotel, restaurant, jardin, séminaires entre Montreux et Vevey

L’Hostellerie Bon Rivage, Hotel situé au bord du Lac Léman, dans un écrin de verdure entre Vevey et Montreux, vous accueille pour toute l’année. Forte de ses 150 ans d'histoire hôtelière ininterrompue et de sa réputation de lieu de séjour calme et gastronomique, l'Hostellerie Bon Rivage dispose après deux rénovations de 52 chambres au confort moderne et d'un ensemble de salles et de "coins" dédiés à trois arts majeurs. Son jardin unique, l’accès direct au lac, son équipe accueillante et sa localisation en font un lieu de détente idéal. Le chef du restaurant de l’Hôtel, L’Olivier, vous fera découvrir des produits locaux et méditerranéens toujours préparés avec les légumes du jardin. Nos salles de séminaire lumineuses et rénovées vous proposent des prix attractifs. accès direct à la plage vue sur le port Jardin et potager chambres avec vue sur le lac chambres familiales gratuit pour les enfants de moins de 12 ans dans la chambre des parents Salles de séminaires Forfaits réunions Salles lumineuses parking privé légumes du jardin huîtres

Note 4.5 sur 5 étoiles pour 6 évaluations

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Lavauxrêves.ch Sàrl

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Route de Grandvaux 2, 1096 Cully

Pierre-André est né à Cully en 1966. Après une formation de menuisier, l’appel du grand large l’a entraîné tout autour du monde sur les navires de la marine marchande. Et c’est la tête et les sens pleins d’odeurs, de saveurs et de recettes qu’il est revenu au pays, avec la volonté de faire partager son amour des cuisines du monde. De retour à Cully, son goût pour le terroir s’est encore développé, grâce à des rencontres fortes : son ami Serge Guidoux, pêcheur à Ouchy, l’extraordinaire Ludo qui a repris la boucherie Nardi à Cully et tant d’autres producteurs pour qui terroir n’est pas un vain mot et dont le travail mérite d’être reconnu. Il a eu le bonheur de travailler quelques saisons inoubliables avec Gilles Wannaz, à Chenaux, dont l’accueil, l’imagination et la poésie ne sont plus à présenter. Après une année aux feux du Café Fédéral à Cully, il a décidé de réaliser son rêve : proposer sa vision de la cuisine en tant que traiteur. Chaque réception, chaque repas, chaque fête devient une rencontre, et parfois un défi, car très vite il s’est fait une image « tous-terrains » : chalet d’alpage, appartement, jardin, stade, caveau, bateau, entrepôt, pique-nique en forêt, rien ne lui est impossible.

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Route de Grandvaux 2, 1096 Cully
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Pierre-André est né à Cully en 1966. Après une formation de menuisier, l’appel du grand large l’a entraîné tout autour du monde sur les navires de la marine marchande. Et c’est la tête et les sens pleins d’odeurs, de saveurs et de recettes qu’il est revenu au pays, avec la volonté de faire partager son amour des cuisines du monde. De retour à Cully, son goût pour le terroir s’est encore développé, grâce à des rencontres fortes : son ami Serge Guidoux, pêcheur à Ouchy, l’extraordinaire Ludo qui a repris la boucherie Nardi à Cully et tant d’autres producteurs pour qui terroir n’est pas un vain mot et dont le travail mérite d’être reconnu. Il a eu le bonheur de travailler quelques saisons inoubliables avec Gilles Wannaz, à Chenaux, dont l’accueil, l’imagination et la poésie ne sont plus à présenter. Après une année aux feux du Café Fédéral à Cully, il a décidé de réaliser son rêve : proposer sa vision de la cuisine en tant que traiteur. Chaque réception, chaque repas, chaque fête devient une rencontre, et parfois un défi, car très vite il s’est fait une image « tous-terrains » : chalet d’alpage, appartement, jardin, stade, caveau, bateau, entrepôt, pique-nique en forêt, rien ne lui est impossible.

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Le Centre Général Guisan est situé à Pully à proximité de Lausanne, dans un parc d’une superficie d’un hectare au bord du Leman. C'est un lieu privilégié de rencontres, d’études et de mémoire. Sous le nom de Verte Rive, la propriété fut la demeure, jusqu’à son décès en 1960, du Général Guisan, commandant en chef de l’Armée suisse pendant la Deuxième Guerre mondiale 1939-1945. Propriété de la Confédération Suisse depuis 1971, Verte Rive est aujourd’hui un centre géré par une association de droit privé. Centre Général Guisan - historique historique du Général Origine On trouve la famille Guisan dès le XVème siècle dans le canton de Vaud. Les Guisan, châtelains d’Avenches, seigneurs de Donatyre et d’Oleyres durent céder leurs biens et leurs charges à Leurs Excellences de Berne au moment de l’occupation du Pays de Vaud. Par sa mère, Henri Guisan descend des châtelains de Beaufort en France, famille huguenote émigrée en Suisse à la Révocation de l’Edit de Nantes en 1685. Devise de la famille de Henri Guisan, bourgeois d’Avenches : « It recte nihil timet » (Le juste n’a rien à craindre). Jeunesse Henri Guisan voit le jour le 21 octobre 1874 à Mézières, Vaud où son père exerce la profession de médecin de campagne. En 1893, il obtient le baccalauréat ès lettres après avoir fréquenté le collège classique cantonal et le gymnase à Lausanne. Membre de la Société d’étudiant de Zofingue, il entreprend des études de médecine qu’il abandonne bien vite pour s’orienter vers l’agronomie. Dès 1897, il exploite un domaine agricole situé à Chesalles sur Oron et fonde un foyer en épousant Mary Doelker. Carrière militaire 1894 Ecole de recrues à Bière dans l’artillerie hippomobile (arme dans laquelle il pouvait assouvir sa passion pour le cheval). 1894 Lieutenant 1898 Premier-lieutenant 1904 Capitaine, commandant de la batterie de campagne 6. 1908 Capitaine à l’état-major général (EMG) 1909 Major EMG 1913 Major d’infanterie, commandant du bataillon de fusiliers 2 1916 Lieutenant-colonel EMG puis 1919 Commandant ad interim du régiment d’infanterie 9 1920 Colonel d’infanterie, commandant de la brigade d’infanterie 5 1926 Colonel divisionnaire*, commandant de la 2e division puis 1931 Colonel divisionnaire, commandant de la 1ère division 1932 Colonel commandant de corps d’armée, commandant du 2e corps d’armée puis 1933 Colonel commandant de corps, commandant du 1er corps d’armée 1939 Général, élu par l’Assemblée fédérale le 30 août, commandant en chef de l’armée. Jusqu’à sa nomination au grade de colonel divisionnaire, Henri Guisan conserve son statut d’officier de milice tout en accomplissant de nombreux services comme officier instructeur volontaire. * Les officiers généraux portaient alors le grade de colonel brigadier, colonel divisionnaire et colonel commandant de corps. La mention " colonel " a été supprimée dans les années 1960. La mission donnée à l’armée et à son chef pour la période de la Deuxième Guerre Mondiale 1939 - 1945 peut se résumer en une phrase " Sauvegarder l’indépendance du pays et maintenir l’intégrité du territoire ". Cette mission a amené le Général Guisan à prendre les décisions stratégiques dictées par la situation et son évolution tout au long de son temps de commandement. D’un dispositif d’attente dicté par le statut de neutralité du pays après la mobilisation, l’armée a gagné le dispositif de combat du Réduit dans le secteur alpin alors que la Suisse était encerclée par les Forces de l’Axe pour revenir, dans la dernière phase de la guerre, à un dispositif de couverture des frontières. Le 20 août 1945, le Général Henri Guisan pouvait quitter son commandement avec le sentiment d’avoir rempli la mission qui lui avait été confiée. Jusqu’à sa mort, le 7 avril 1960, le Général Henri Guisan a pu mesurer sa popularité à travers les innombrables témoignages de reconnaissance exprimés par le peuple suisse. Le Centre Général Guisan Sous le nom de Verte Rive, la propriété qui abrite aujourd’hui le CENTRE GENERAL GUISAN fut la demeure du Général Henri Guisan, commandant en chef de l’armée suisse durant la période 1939 - 1945. Les bâtiments, construits par le père de la future épouse du général Mary Doelker dans les année 1867 à 1874, étaient destinées à l’habitat et l’exploitation agricole dans un environnement voué alors à l’agriculture et à la production vinicole. Henri Guisan s’y installa en 1902 et y resta jusqu’à sa mort en 1960. Achetée par la Confédération en 1971, la propriété de Verte Rive devint le siège du CENTRE D’HISTOIRE ET DE PROSPECTIVE MILITAIRES grâce à la SOCIETE VAUDOISE DES OFFICIERS (SVO) à laquelle la Confédération concède un droit de superficie sur l’un des pavillons. Dès 1974, ce pavillon aménagé permet la réunion de nombreuses sociétés, en particulier militaires. Le fils du général, le colonel Henry Guisan, occupa la villa jusqu’à son décès en 1990.

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Avenue Général-Guisan 117, 1009 Pully
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Le Centre Général Guisan est situé à Pully à proximité de Lausanne, dans un parc d’une superficie d’un hectare au bord du Leman. C'est un lieu privilégié de rencontres, d’études et de mémoire. Sous le nom de Verte Rive, la propriété fut la demeure, jusqu’à son décès en 1960, du Général Guisan, commandant en chef de l’Armée suisse pendant la Deuxième Guerre mondiale 1939-1945. Propriété de la Confédération Suisse depuis 1971, Verte Rive est aujourd’hui un centre géré par une association de droit privé. Centre Général Guisan - historique historique du Général Origine On trouve la famille Guisan dès le XVème siècle dans le canton de Vaud. Les Guisan, châtelains d’Avenches, seigneurs de Donatyre et d’Oleyres durent céder leurs biens et leurs charges à Leurs Excellences de Berne au moment de l’occupation du Pays de Vaud. Par sa mère, Henri Guisan descend des châtelains de Beaufort en France, famille huguenote émigrée en Suisse à la Révocation de l’Edit de Nantes en 1685. Devise de la famille de Henri Guisan, bourgeois d’Avenches : « It recte nihil timet » (Le juste n’a rien à craindre). Jeunesse Henri Guisan voit le jour le 21 octobre 1874 à Mézières, Vaud où son père exerce la profession de médecin de campagne. En 1893, il obtient le baccalauréat ès lettres après avoir fréquenté le collège classique cantonal et le gymnase à Lausanne. Membre de la Société d’étudiant de Zofingue, il entreprend des études de médecine qu’il abandonne bien vite pour s’orienter vers l’agronomie. Dès 1897, il exploite un domaine agricole situé à Chesalles sur Oron et fonde un foyer en épousant Mary Doelker. Carrière militaire 1894 Ecole de recrues à Bière dans l’artillerie hippomobile (arme dans laquelle il pouvait assouvir sa passion pour le cheval). 1894 Lieutenant 1898 Premier-lieutenant 1904 Capitaine, commandant de la batterie de campagne 6. 1908 Capitaine à l’état-major général (EMG) 1909 Major EMG 1913 Major d’infanterie, commandant du bataillon de fusiliers 2 1916 Lieutenant-colonel EMG puis 1919 Commandant ad interim du régiment d’infanterie 9 1920 Colonel d’infanterie, commandant de la brigade d’infanterie 5 1926 Colonel divisionnaire*, commandant de la 2e division puis 1931 Colonel divisionnaire, commandant de la 1ère division 1932 Colonel commandant de corps d’armée, commandant du 2e corps d’armée puis 1933 Colonel commandant de corps, commandant du 1er corps d’armée 1939 Général, élu par l’Assemblée fédérale le 30 août, commandant en chef de l’armée. Jusqu’à sa nomination au grade de colonel divisionnaire, Henri Guisan conserve son statut d’officier de milice tout en accomplissant de nombreux services comme officier instructeur volontaire. * Les officiers généraux portaient alors le grade de colonel brigadier, colonel divisionnaire et colonel commandant de corps. La mention " colonel " a été supprimée dans les années 1960. La mission donnée à l’armée et à son chef pour la période de la Deuxième Guerre Mondiale 1939 - 1945 peut se résumer en une phrase " Sauvegarder l’indépendance du pays et maintenir l’intégrité du territoire ". Cette mission a amené le Général Guisan à prendre les décisions stratégiques dictées par la situation et son évolution tout au long de son temps de commandement. D’un dispositif d’attente dicté par le statut de neutralité du pays après la mobilisation, l’armée a gagné le dispositif de combat du Réduit dans le secteur alpin alors que la Suisse était encerclée par les Forces de l’Axe pour revenir, dans la dernière phase de la guerre, à un dispositif de couverture des frontières. Le 20 août 1945, le Général Henri Guisan pouvait quitter son commandement avec le sentiment d’avoir rempli la mission qui lui avait été confiée. Jusqu’à sa mort, le 7 avril 1960, le Général Henri Guisan a pu mesurer sa popularité à travers les innombrables témoignages de reconnaissance exprimés par le peuple suisse. Le Centre Général Guisan Sous le nom de Verte Rive, la propriété qui abrite aujourd’hui le CENTRE GENERAL GUISAN fut la demeure du Général Henri Guisan, commandant en chef de l’armée suisse durant la période 1939 - 1945. Les bâtiments, construits par le père de la future épouse du général Mary Doelker dans les année 1867 à 1874, étaient destinées à l’habitat et l’exploitation agricole dans un environnement voué alors à l’agriculture et à la production vinicole. Henri Guisan s’y installa en 1902 et y resta jusqu’à sa mort en 1960. Achetée par la Confédération en 1971, la propriété de Verte Rive devint le siège du CENTRE D’HISTOIRE ET DE PROSPECTIVE MILITAIRES grâce à la SOCIETE VAUDOISE DES OFFICIERS (SVO) à laquelle la Confédération concède un droit de superficie sur l’un des pavillons. Dès 1974, ce pavillon aménagé permet la réunion de nombreuses sociétés, en particulier militaires. Le fils du général, le colonel Henry Guisan, occupa la villa jusqu’à son décès en 1990.

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L’Hostellerie Bon Rivage, Hotel situé au bord du Lac Léman, dans un écrin de verdure entre Vevey et Montreux, vous accueille pour toute l’année. Forte de ses 150 ans d'histoire hôtelière ininterrompue et de sa réputation de lieu de séjour calme et gastronomique, l'Hostellerie Bon Rivage dispose après deux rénovations de 52 chambres au confort moderne et d'un ensemble de salles et de "coins" dédiés à trois arts majeurs. Son jardin unique, l’accès direct au lac, son équipe accueillante et sa localisation en font un lieu de détente idéal. Le chef du restaurant de l’Hôtel, L’Olivier, vous fera découvrir des produits locaux et méditerranéens toujours préparés avec les légumes du jardin. Nos salles de séminaire lumineuses et rénovées vous proposent des prix attractifs. accès direct à la plage vue sur le port Jardin et potager chambres avec vue sur le lac chambres familiales gratuit pour les enfants de moins de 12 ans dans la chambre des parents Salles de séminaires Forfaits réunions Salles lumineuses parking privé légumes du jardin huîtres

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Route de Grandvaux 2, 1096 Cully

Pierre-André est né à Cully en 1966. Après une formation de menuisier, l’appel du grand large l’a entraîné tout autour du monde sur les navires de la marine marchande. Et c’est la tête et les sens pleins d’odeurs, de saveurs et de recettes qu’il est revenu au pays, avec la volonté de faire partager son amour des cuisines du monde. De retour à Cully, son goût pour le terroir s’est encore développé, grâce à des rencontres fortes : son ami Serge Guidoux, pêcheur à Ouchy, l’extraordinaire Ludo qui a repris la boucherie Nardi à Cully et tant d’autres producteurs pour qui terroir n’est pas un vain mot et dont le travail mérite d’être reconnu. Il a eu le bonheur de travailler quelques saisons inoubliables avec Gilles Wannaz, à Chenaux, dont l’accueil, l’imagination et la poésie ne sont plus à présenter. Après une année aux feux du Café Fédéral à Cully, il a décidé de réaliser son rêve : proposer sa vision de la cuisine en tant que traiteur. Chaque réception, chaque repas, chaque fête devient une rencontre, et parfois un défi, car très vite il s’est fait une image « tous-terrains » : chalet d’alpage, appartement, jardin, stade, caveau, bateau, entrepôt, pique-nique en forêt, rien ne lui est impossible.

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Route de Grandvaux 2, 1096 Cully
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Pierre-André est né à Cully en 1966. Après une formation de menuisier, l’appel du grand large l’a entraîné tout autour du monde sur les navires de la marine marchande. Et c’est la tête et les sens pleins d’odeurs, de saveurs et de recettes qu’il est revenu au pays, avec la volonté de faire partager son amour des cuisines du monde. De retour à Cully, son goût pour le terroir s’est encore développé, grâce à des rencontres fortes : son ami Serge Guidoux, pêcheur à Ouchy, l’extraordinaire Ludo qui a repris la boucherie Nardi à Cully et tant d’autres producteurs pour qui terroir n’est pas un vain mot et dont le travail mérite d’être reconnu. Il a eu le bonheur de travailler quelques saisons inoubliables avec Gilles Wannaz, à Chenaux, dont l’accueil, l’imagination et la poésie ne sont plus à présenter. Après une année aux feux du Café Fédéral à Cully, il a décidé de réaliser son rêve : proposer sa vision de la cuisine en tant que traiteur. Chaque réception, chaque repas, chaque fête devient une rencontre, et parfois un défi, car très vite il s’est fait une image « tous-terrains » : chalet d’alpage, appartement, jardin, stade, caveau, bateau, entrepôt, pique-nique en forêt, rien ne lui est impossible.

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